Il faut déjà monter 3 étages à pieds pour se rendre dans ce cabinet.
La porte s’ouvre et une très forte odeur nauséabonde de tabac froid s’échappe aussitôt.
Dès que cette puanteur a eu raison de vos poumons, vous rentrez dans un taudis aux décorations seventies qui ornent des murs jaunis par la fumée de cigarette.
Vous êtes accueillis par une dame de petite taille qui ne se présente pas mais je vous promet que plus tard, vous saurez qui elle est😳
La salle d’attente est une pièce aux saveurs multiples voisines de celles rencontrées à vigianellu avec des meubles que même un brocanteur ne voudrait pas et des….assises dignes d’une cabane de la guerre des boutons.
Nous sommes soudainement invités dans ce qui sert de cabinet. Ce mot prend ici tout sons sens avec l’odeur en prime.
Vous comprenez donc que cette dame est le médecin et vous ordonne de vous asseoir. Elle vous demande pourquoi vous venez et elle s’engouffre dans un monologue fastidieux. Et si vous avez le malheur de discuter son avis ou de vouloir donner des précisions, elle vous sort sa rengaine visiblement bien répétée : « ne discutez pas mon diagnostic, je sais ce que je fais, c’est mon travail.
Pas moyen de placer un échange verbal constructif sans qu’elle vous assène son cri de guerre.
Cette scène est hallucinante et la hargne venant de ce personnage nous montre la frustration qui émane de cet étrange phénomène de la nature.
Je décide aussitôt de couper court et de mettre fin à l’entrevue. Je pars dégoûté et surpris que l’ordre des médecins laisse cette femme continuer d’exercer.
Visiblement le poids de sa carrière a eu raison de sa santé mentale et la consultation d’un psy serait tout à fait indiquée.
Praticien à fuir pour son manque d’hygiène, son manque de sympathie et son manque de professionnalisme.